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Le galion de Privat d’Anglemont – Souvenirs de Théodore de Banville – 1882

« Privat d’Anglemont, un des parisiens restés légendaires, a été très mal connu, parce que tout en lui était invraisemblable. Quand je le vis pour la première fois, en 1841, c’était un très beau jeune homme, grand, svelte, élancé, aux traits…

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Le Cochon fidèle – 1867

A l’ombre de la Sorbonne, rue des Cordiers, se trouve l’établissement du Cochon fidèle. Ce nom est expliqué par une légende assez apocryphe : Un jeune cochon — d’où sortait-il ? — venait chaque jour dans la rue contempler par la vitre…

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Le citoyen Chonmoru, libraire – 1903

« L’autre jour, je suis allé vers la Seine. J’ai profité d’un rayon de soleil pour rendre visite à mes bons amis les bouquinistes.

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Le cabaret de la Canne – 1862

Ce n’est ni un café, ni une brasserie, ni un cabaret, — c’est un trou. Il peut même se faire que ce soit une cave, car il y a des tonneaux au fond et des marches à l’entrée. Cela n’a…

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Le bateleur de place – 1823

Sur le Pont-Neuf, entouré de badauds, Un charlatan criait à pleine tête : Venez, messieurs, accourez faire emplette D’un grand remède à tous les maux : C’est bien une poudre admirable Qui donne de l’esprit aux sots, La sagesse aux fripons, l’innocence…

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Le bal du 15 de la rue des Vertus – 1922

On est pris, sitôt entré, par une atmosphère de gaieté et de mouvement. La salle étroite d’abord s’élargit pour faire de la place aux danseurs, comme une tige porte une fleur épanouie. Cette fleur est la salle de danse. Des…

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Le bal des auvergnats – 1878

Que d’anecdotes sur les Auvergnats ! Ils servent de tètes de Turc à toute la presse humoristique. Le Français, né malin, sacrifie tout à l’esprit. Il faut une cible à ses traits : il vise d’honorables compatriotes dont le nom seul, on…

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Le bal de la Cave – 1864

Au premier abord, ce n’est rien qu’un cabaret vulgaire, un simple débit de consolation, dans le genre de ceux dont la place Maubert et ses environs sont émaillés. L’égout passe devant la porte, — l’égout de la rue de la…

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La truie qui file – 1889

Une longue bâtisse n’ayant qu’un étage, vers le milieu de la rue Fontaine : c’est un café, que rien au premier abord, ne distingue des autres, si ce n’est son nom archaïque et bizarre qui court tout le long de l’enseigne,…

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La salle Saint Spire, le père Glouton, les Filles-Dieu, le Club de la femme libre – Le Paris qui s’efface de Charles Virmaitre – 1887

La salle Saint Spire était située rue Saint-Spire, laquelle donnait rue des Filles-Dieu et impasse de la Grosse-Tête. Le théâtre était situé au troisième étage, le propriétaire était un chiffonnier, nommé le père Glouton parce qu’il cachait dans un coin…

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