Les ultimes jours, ses ultimes heures, Gérard de Nerval les passe en certains coins de ce Paris qu’il a décrit ; aussi est-ce peut-être une sorte de pèlerinage que retrouver avec lui quelques-unes de ses chères visions de parisien.
Le plus souvent il est sur la butte Montmartre, allant à travers ce qui alors était un petit village, coin si banlieusard avec ses basses et vieilles maisons, ses petits jardins, ses cabarets de planches, et ses guinguettes à tonnelles.
- A Montmartre - Masures à l’entrée d’une carrière - 1832
- Homme déguisé en vagabond, pipe à la bouche, bâton noueux, chapeau mou - 1842-1855
- Vue du Pont neuf à Paris - 1771